par Michel Valdrighi, 3X ans, bonne à tout faire du web le jour, superhéros injustement méconnu la nuit.
He fell upon her like a savage, wielding his mouth like a machete, and in the pleasure she took from him her body became an extension of her quarterly earnings report��proof of her worthiness as a lover. His hard-on was sanction enough.
“Scream your secret passions, Hank Rearden!”
“Derivatives!”
“Yes!”
“Credit-default swaps!”
“Oh, yes! Yes!”
“Collateralized debt obligation.”
“YES! YES! YES!”
Jeremiah Tucker, Atlas Shrugged
C’est de saison : Tombe la neige en version japonaise, coréenne et vietnamienne.
Le petit clip de la version coréenne vaut le coup de s’infliger du Adamo pendant une minute trente.
Cindy, le caniche le plus classe du monde. (via)
(Mention spéciale à Cindy version « Tortue Ninja ».)
Mandelbrot Set you’re a Rorschach Test on fire
You’re a day-glo pterodactyl
You’re a heart-shaped box of springs and wire
You’re one badass fucking fractal
And you’re just in time to save the day
Sweeping all our fears away
You can change the world in a tiny wayJohnatan Coulton, Mandelbrot Set (via)
(Et pour jouer dix minutes, un générateur de fractals en JavaScript.)
Despite the jittery sounds of the “Psycho” movie soundtrack in the background, the mood in the gallery was peaceful, with the aroma of sage incense filling the air. Sibyl Buck — a bass player and former model (and the stylish Edie to Mr. Arthur’s Warhol) — told everyone of a performance artist who had been smashing car windows in the name of art.
“The new definition of art is when you do something and other people talk about it,” she said.
Liza Ghorbani, Doing Things You’re Not (via)
Fin de scolarité, je sais à présent que je veux et que j’aime faire de belles choses.
Qu’est ce qu’une belle chose alors ?
C’est un objet précieux, qui trouve une place de choix chez vous.
Moi je vais faire une belle chose qui sera un livre.
Via Charles Liebert j’apprends que je suis cité dans le dernier CB News, et que cette citation a inspiré l’illustration de leur couverture et de leur dossier sur les blogoputes. Ils m’en voient bien flatté.
Plus spécifiquement, c’est ce commentaire sur Embruns qui est cité, à base de saucisses Herta et de tractopelles.
C’était le 28 juin, et depuis la réalité a dépassé la fiction, avec au moins ce post sponsorisé pour une boucherie sur un blog mode/beauté, en contradiction avec sa ligne éditoriale habituelle (on notera que les commentaires des lecteur(trices)s habituel(le)s qui critiquaient cette intrusion de la chair fraîche dans le domaine du maquillage ont depuis disparu, signe d’un petit malaise ?).
Je me souviens d’une conversation à la suite d’une soirée casting sponsorisée (où mes hormones m’avaient entraîné, plus que mon goût tiède pour les miettes du monde de la pub), ou quelque blogueur a réussi le tour de force de m’expliquer, dans la même suite d’idées, comment selon son vécu les posts sponsorisés étaient bien pratiques quand t’as du mal à finir le mois, puis comment grâce à ses posts sponsorisés il avait pu s’offrir tel appareil photo et tels objectifs, qu’il déballait devant moi comme autant de trophées de guerre gagnés dans la sueur et le sang en bradant la crédibilité du medium.
(Où l’on apprend que « avoir du mal à finir le mois », c’est devoir à grands regrets se passer parfois du superflu, oy vey !).
Peut-être se souvient-il de mon invective répétée : « mais putain ce matos coûteux, t’en as besoin pour vivre !? »
Tirez-en les conclusions que vous voudrez.
La mienne : « j’vous l’avais dit. »
Car interdire n’est pas le contraire exactement symétrique d’autoriser. Lorsque l’on interdit un droit, on empêche tout le monde d’en bénéficier, aussi bien ceux qui le voudraient que ceux qui ne le voudraient pas. Lorsque l’on autorise un droit, on permet à ceux qui veulent en bénéficier de le faire, mais aussi à ceux qui ne le veulent pas de ne pas le faire. D’un côté on oblige tous les gens se comporter de la même manière ; de l’autre on laisse les gens décider en leur âme et conscience et on respecte leur décision. Interdire, c’est imposer, autoriser, c’est proposer. Quand j’entends dire qu’il y a sur ces sujets des intégristes des deux côtés, ça me fait hurler. Non, il n’y a pas des intégristes des deux côtés : par définition, celui qui souhaite laisser le choix à chacun de faire comme il l’entend n’est pas intégriste. C’est éventuellement un intégriste de la liberté individuelle, mais ce n’est pas un intégriste du mariage, de l’avortement ou de l’euthanasie.
Pascal Levy, Le revers
Cette interview est une fiction. Chaque réponse est un anagramme du nom de l’invité.
(Le concept vient de Davezilla.)
Michel : À l’aube de votre carrière de Commandant en Chef des armées, quel genre de problème logistique rencontrez-vous en Irak ?
Président Barack Obama : Kebab constiper armada.Michel : Quelle serait la meilleure stratégie de repli pour l’armée américaine ?
Président Barack Obama : Bombarderait pancakes.Michel : Comptez-vous sur la coopération d’autres pays du Moyen Orient dans ce repli ?
Président Barack Obama : Emirat, pancakes ? Bobard.Michel : Votre avis sur la situation en Afghanistan, et ce qui peut y prolonger la guerre ?
Président Barack Obama : Macabre, borde Pakistan.Michel : Parlons politique française et intégration des minorités : on parle de l’influence de sa mère juive sur les positions de Nicolas Sarkozy, qu’en pensez-vous ?
Président Barack Obama : Sarko adapté rabbin, mec.Michel : Plusieurs rumeurs circulent sur un plan échangiste entre nos deux couples présidentiels qui aurait mal tourné, pouvez-vous nous en dire plus ?
Président Barack Obama : Sarko banda, crampe bite.Michel : On parle aussi du trouble passé gay de John McCain, quel était son surnom au Vietnam ?
Président Barack Obama : « Bareback penis matador. »Michel : On dit que vous seriez intime avec Bernard Kouchner.
Président Barack Obama : Bernard baptisa ma coke.Question bonus :
Michel : Oh, un plateau de makis M7 !
Président Barack Obama : Captons maki de barbare !
Autres interviews anagrammes : Laurent Gloaguen, Matt Mullenweg, Ben Metcalfe.
zengun (mon ancien blog anglo/francophone, mai 2000 à mai 2006)