2022

  • S’appuyant sur le travail de notre comité sur l’évaluation multimédia, l’ACA a fait d’importants progrès vers la mise en œuvre d’une approche normalisée de la mesure média au Canada, notamment en formant un groupe consultatif sur la mesure de l’industrie (IMAG).
  • Négocié avec succès une prolongation d’un an avec l’ACTRA, laquelle prévoit un mécanisme essentiel pour continuer à utiliser les publicités existantes. De plus, l’entente prolongée prévoit l’encadrement nécessaire pour permettre aux embaucheurs d’accéder facilement aux artistes de l’ACTRA pour leurs productions, tout en accordant le temps requis pour l’élaboration d’une entente simplifiée et modernisée pour l’industrie.
  • Dépôt d’interventions relatives au projet de loi 96, Loi sur la langue officielle et commune du Québec, le français, en vue de souligner l’impact négatif du projet de loi sur la signalisation extérieure. Les discussions avec le gouvernement se poursuivent afin de minimiser les répercussions négatives sur l’industrie.
  • Interventions écrites et orales auprès du ministère de la Culture et des Communications du Québec sur le projet de loi n° 35, Loi visant à harmoniser et à moderniser les règles relatives au statut professionnel de l’artiste. En collaboration avec l’Association des agences de communication créative (A2C) et l’Association des producteurs publicitaires (APP), dépôt des intérêts des annonceurs qui permettraient d’aborder les relations de travail de manière plus efficace et plus souple dans toutes les révisions de la Loi sur le statut de l’artiste.

2021

  • Publication du tout premier recensement mondial et canadien sur l’état de la diversité, de l’équité et de l’inclusion.
  • Dépôt d’interventions pour modérer le projet de loi n° 64, Loi modernisant des dispositions législatives en matière de protection des renseignements personnels, qui a édicté des modifications importantes aux exigences relatives à l’utilisation et à la protection des renseignements personnels.

2020

  • L’ACA a mis sur pied un Comité sur l’évaluation multimédia afin d’améliorer la mesure multimédia au Canada.
  • L’ACA a mis sur pied un Comité sur la diversité, l’équité et l’inclusion (DEI) pour fournir à la communauté marketing des outils tangibles pour cultiver et partager les connaissances sur le sujet et ainsi faire progresser la diversité, l’équité et l’inclusion au Canada.
  • L’ACA a négocié avec l’ACTRA une prolongation d’un an de l’entente nationale sur la publicité, sans augmentation des frais.

2019

  • À la suite des actions de l’ACA, la Cour suprême a infirmé l’ordonnance de substitution simultanée du CRTC.

2014

  • L’ACA comparaît avec le CMDC devant le Comité permanent des transports et des communications du Sénat pour défendre la présence continue de la publicité sur les ondes de Radio-Canada, soulignant que celle-ci est d’une importance vitale pour la santé du diffuseur public et pour celle de l’ensemble du système canadien de radiodiffusion.
  • Encore une fois avec le CMDC, l’ACA intervient lors de Parlons télé, les audiences du CRTC sur l’avenir de la télévision au pays, pour mettre en valeur quatre problèmes susceptibles d’avoir un impact sur les annonceurs : 1) la télé à la carte, 2) l’élimination des obstacles pour les annonceurs, 3) la substitution simultanée des annonceurs et 4) les appareils d’évaluation des auditoires.

2013

  • L’ACA pilote la formation de l’Alliance de la publicité numérique du Canada, en vue de la mise en place d’un système d’autorégulation de la publicité comportementale en ligne. choices
  • L’ACA intervient pour empêcher les télédiffuseurs de gonfler leurs données d’auditoires en rediffusant intégralement leur programmation – publicités comprises – par Vidéo sur demande au cours des sept jours suivant la mise en ondes originale. L’argumentation de l’ACA invoquait la hausse possible des coûts et les risques de plaintes de la part des consommateurs.
  • L’ACA a réussi à empêcher la Régie des alcools, des courses et des jeux du Québec d’augmenter les taxes sur les prix offerts lors de concours promotionnels. Les hausses proposées auraient eu pour effet d’augmenter de façon significative les coûts des promotions.

Années 2000

  • L’ACA publie son étude sur l’engorgement publicitaire à la télé. Étude dont la conclusion principale est que la diffusion d’un trop grand nombre d’annonces à l’heure constitue un manque de respect envers le téléspectateur et réduit l’efficacité de la télévision en tant que média publicitaire. tv-remote
  • L’ACA publie la première étude en Amérique du Nord sur le Paiement basé sur les résultats, recueillant ainsi la reconnaissance de l’industrie au Canada et ailleurs dans le monde.
  • L’ACA intervient de manière déterminante contre les changements proposés à la Loi sur la concurrence dans le Projet de loi C-23 du Bureau de la concurrence. Ceux-ci auraient changé la façon dont les annonceurs exploitent les concours dans leurs activités promotionnelles. Le Bureau de la concurrence révise son projet de loi à la suite des présentations de l’ACA.
  • L’ACA crée le Conseil canadien sur la commandite. smcc_logo_prim_en
  • L’ACA mène la lutte contre le Projet de loi C-19, qui aurait restreint considérablement les droits des annonceurs, en imposant notamment des amendes très sévères en cas d’erreurs fréquentes dans les publicités.
  • L’ACA s’oppose avec succès à une entente entre Google et Yahoo! qui aurait eu pour effet d’établir un monopole sur les moteurs de recherche Internet et de faire augmenter indument les prix de la publicité en ligne.
  • L’ACA réussit à faire adopter une définition acceptable de la publicité dans le Code alimentaire international de l’Organisation internationale de l’alimentation et de l’agriculture – le Codex Alimentarius – publié par l’Organisation mondiale de la santé. De surcroît, les efforts de l’ACA permettent de restreindre l’application de cette définition aux allégations concernant la santé et la nutrition.
  • L’ACA et l’ASC commanditent un colloque et la publication subséquente d’un livre intitulé In Trust: Ethics in Advertising, A Canadian Enquiry Into What Is Necessary And What Is Possible examinant l’importance de l’éthique dans la publicité média.

Années 90

  • L’ACA recueille 500 000 $ pour un fonds de démarrage permettant de conclure une entente entre Nielsen Media Research Canada et BBM. On lance des audimètres dans le marché torontois peu après, puis à Québec et Vancouver.
  • L’ACA collabore avec le Groupe d’action sur la violence télévisée afin de mettre au point des cotes basées sur le niveau de violence des émissions télé. tv-ratings
  • L’ACA crée un fonds de démarrage permettant la création du Bureau canadien de la publicité Internet (IAB). iabcanadalogo2016
  • L’ACA joue un rôle déterminant dans l’opposition au Projet de loi C-55, qui aurait interdit aux annonceurs canadiens l’accès aux consommateurs lisant des magazines publiés par des éditeurs étrangers.
  • L’ACA obtient le statut d’intervenant et joue un rôle déterminant dans l’annulation de la décision de la cour provinciale de l’Alberta dans la cause R. v. Brennan, qui aurait pu avoir un impact important sur la façon dont les annonceurs administrent les concours promotionnels.

Années 80

  • En 1983, l’ACA élabore le concept de la publicité en tant que locomotive économique, dans sa contribution à une présentation de la Chambre de commerce du Canada devant la Commission MacDonald.
  • Lors des audiences du CRTC sur les licences des réseaux spécialisés, l’ACA réclame l’accès à tous les médias pour les annonceurs.
  • L’ACA est l’hôte de la 34e assemblée générale de la Fédération mondiale des annonceurs. WFA logo

Années 70

  • L’ACA lance son programme A Practical Course in Canadian Advertising, à l’intention des universités et collèges. aca-launches-courses
  • L’ACA appuie une étude réalisée par quatre théologiens de l’University of Toronto, qui mène à la publication, en 1972, du rapport intitulé : Truth in advertising: a symposium of the Toronto School of Theology.
  • L’ACA contribue à l’abandon du Projet de la C-16, Loi protégeant les emprunteurs et les déposants, qui aurait obligé les annonceurs offrant des services de crédit à divulguer tous les détails de cette offre dans chacune de leurs publicités.

Années 60

  • L’ACA s’oppose avec succès à l’octroi d’une commission de 2 % aux agences à la fin de leurs contrats.

Années 50

  • L’ACA et l’ICA fondent le Canadian Advertising Advisory Board (Normes canadiennes de la publicité). Cet organisme tripartite est chargé d’administrer le Code canadien des normes publicitaires. advertisingstandardscanada

Années 40

  • L’ACA crée sa Médaille d’or afin de reconnaître des publicitaires ayant contribué de façon marquante à l’avancement des communications marketing au Canada. Médaille d’or
  • On crée le Bureau of Broadcast Measurement, qui est devenu aujourd’hui Numeris, à la suite d’une entente entre l’ACA, l’Association canadienne des radiodiffuseurs et l’Association canadienne des agences de publicité, aujourd’hui l’Institut des communications et de la publicité (ICA). numerislogo
  • L’ACA et l’ICA forment la Canadian Advertising Research Foundation (CARF).

Années 30

  • L’ACA est à l’origine de la création du Canadian Circulations Audit Board (appelé maintenant BPA Worldwide). uniting-trade-partnerships

Années 20

  • L’ACA appuie la campagne “Achetez canadien” de l’Association canadienne des manufacturiers.

1917

  • Incorporation de l’ACA.

1915

  • L’ACA décide d’appuyer un organisme nouvellement formé : le Audit Bureau of Circulation, qui est connu aujourd’hui sous le nom de l’Alliance of Audited Media (AAM).

1914

  • Les membres fondateurs de l’ACA se rencontrent le 19 août 1914 dans les bureaux de la Goodyear Tire and Rubber Company. Ces onze annonceurs partagent le même désir d’apporter des changements à l’industrie de la publicité, comme combattre la publicité mensongère et assurer l’établissement d’un marché juste et transparent pour les consommateurs et des règles uniformes pour tous les annonceurs.